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| |  Lun 11 Avr - 23:32
  If you had my love and I gave you all my trust would you comfort me? And if somehow you knew that your love would be untrue would you lie to me? And call me baby > maya
Ca avait été trop loin. Mais tu ne pouvais pas accepter l’idée. Tu ne pouvais pas accepter qu’il te retienne ou qu’il t’empêche d’être présent. Ton père avait ce don de toujours t’avoir énervé, mais étonnement encore plus depuis que les choses étaient devenues nettement plus concrètes avec l’unique fantasme de ta vie. Ce soir, c’était la goutte de trop! Une semaine. Voilà près d’une semaine que tu n’avais pu retrouver la femme qui fait battre ton coeur et rythme la chaleur de ton corps depuis le jour de ta naissance. Une semaine datant de votre dernier coup de vent, sans vous offrir pour autant tout le loisir de vous retrouver comme vous l’auriez souhaité. Et ce soir, ce soir c’était une cérémonie de récompenses où tu lui avais promis d’être à ses côtés. L’idée que ton père te retienne et t’empêche d’y être t’as mis dans une colère et une rage noire. Voilà pour quoi, quitte à te montrer totalement déraisonnable et à dépasser les limites, tu as finis par décocher un solide crochet du gauche afin de l’envoyer dans les vapes. Sonné. Tombant dans les pommes. Tu lui as exprimé ta rage et ton désir de ne plus jamais le voir avant de partir en claquant la porte. Tu regardes l’heure. Tu n’avais plus beaucoup de temps si tu ne voulais pas être en retard. Tu enfourches donc ta moto. Tu passes te changer en enfilant le costume que tu avais spécialement acheté pour l’occasion et te rends sans plus attendre jusqu’au lieu de la cérémonie. Courant quatre à quatre, comme un dératé, tu passes par le côté réservé aux artistes. On connait ton visage. On sait que tu es son danseur. On sait que tu es son fils. Même si, heureusement, tout le monde ignore ce qui vous unit tellement plus… Ces éléments sont suffisants afin de te permettre de passer par les coulisses avant de découvrir cette silhouette qui te rendait dingue, au fond du couloir, avec des employés de la régie, surement en train de la briefer pour son passage sur scène. “Maman!” Lances-tu à haute voix pour attirer son attention, courant dans le couloir pour la rejoindre au plus vite. “Désolé pour le retard… Je t’expliquerai… Mais il était hors de question que je rate ce rendez-vous!” Difficile de sauter sur elle comme tu aurais pu le faire en privé, mais quel plaisir et quel bonheur de pouvoir la retrouver !
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| | Mar 12 Avr - 14:10
If you had my love and I gave you all my trust would you comfort me? And if somehow you knew that your love would be untrue would you lie to me? And call me baby > matthew
La contrariété et l’agacement se lisent sur les traits matures de ton visage. Des traits de caractère que tu n’aimes pas ressentir, pas encore une fois. C’est, au sein du creux fermé de tes poings que tu retiens toute cette mauvaise tension de ne pas laisser cette mauvaise humeur retombée sur l’équipe qui veille sur toi. Cette nouvelle cérémonie, tu l’as acceptée à la dernière minute. Une acceptation à la demande de ton fils. Une acceptation pour une requête qui vous est propre et qui dépasse l’entendement. Tu le sais bien, mais tu t’en moques. Ton fils est ta raison de vivre. Il est tout pour toi. Beaucoup plus ces derniers temps où votre amour explose de mille artifices étincelants. Des artifices qui te manquent. Tu ne comptes plus les heures où tes obligatoires, où les activités de l’amour de ta vie vous ont éloigné l’un de l’autre. Tu ne les comptes plus du tout. Ta patience est arrivée à terme dans cette limite que tu t’imposes. Tu n’y arrives plus. Tu es à deux doigts de tout abandonner pour partir de cette cérémonie et te réfugier dans un bon pot de glace pour essayer de calmer. Te calmer pour ne pas commettre un meurtre envers le père de ton fils. Tu le sais. Tu le connais que trop bien pour savoir, sans même que ton amour ne te le dise, qu’il est la cause de son retard. « Oui. Oui…. Je sais ce que je dois faire. Non. Oui… J’ouvre le bal avec une chanson. L’orchestre se placera, pour accueillir les jeunes mariés. Oui… » Des mots qui se répètent dans le vent face à cette équipe qui fait de ton mieux pour te détendre et te calmer alors qu’elle est à des années lumières de savoir que ses membres n’auront jamais la recette magique capable de te détendre en un claquement de doigts. Alors que le coiffeur se charge de bien placer la longueur de tes cheveux sur tes épaules, ton coeur manque de rater un battement. En un seul geste, ton visage se met à s’illuminer. Tes entrailles s’éveillent. Tu te tournes vers cette voix qui t’appelle, qui crie après toi. « Matthew…! » Remerciant rapidement l’équipe de leur aide, tu t’échappes d’eux pour aller à la rencontre de ton ange incestueux. Un ange où tes mains se réfugient, l’une et l’autre, sur chacune de ses joues. « Tu es là… C’est ce qui compte le plus… » Heureuse, ton sourire resplendit de ce bonheur que son arrivée t’apporte. Lèvre finement mordillée, ton visage se rapproche du creux de son oreille dont le murmure caresse suavement son ouïe. « Même s’il va falloir… que tu te rattrapes… pour te faire pardonner… » En toute discrétion, et presque dissimulé par le volume de tes cheveux, tu mordilles le sommet de son oreille, sensuellement.
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| | Mer 13 Avr - 2:03
If you had my love and I gave you all my trust would you comfort me? And if somehow you knew that your love would be untrue would you lie to me? And call me baby > maya
Il n’y a rien de plus beau que de voir le visage radieux, s’illuminant, et animé du plus pétillant et magnifique des sourires, de ta mère lorsqu’elle se retourne pour te faire face. Tes entrailles fourmillaient de cet amour inconditionnel et inimaginable que tu éprouvais à son égard. Celle que tu aimais autant comme ta mère que comme la femme de ta vie était dans une beauté et une splendeur justifiant votre présence ici, à tous les deux. Ce présent qu’elle avait voulu te faire. Une première cérémonie manquée par ton père. Et cette seconde occasion qu’il avait failli gâcher si tu n’avais pas commis un acte inédit à son encontre! Mais lorsque tu la découvres… dans cette tenue… tellement belle… ravissante… caliente… et bandante… Rien que pour ça tu recognerais ton père toutes les fois qu’il le faudrait pour ne pas échapper à un tel fantasme vivant! “Tu es tellement… magnifique… pour ne pas dire autre chose…!” Lui souris-tu de ton charme, de ton amour, de ton regard spontanément séducteur avec elle alors que tu viens la prendre dans tes bras comme le ferait un simple fils attentionné aux yeux du monde. “Excuse-moi pour le retard, mon amour…” lui murmure-tu sous sa chevelure, juste avant qu’elle ne t’arrache un sourire coquin et complice, ainsi qu’un frisson parcourant subitement toute la longueur de ton échine. “Et sois certaine que je ferai tout pour me rattraper… et me faire pardonner… surtout si j’ai pu te mettre en colère…” Profites-tu de votre proximité pour glisser discrètement ta main au centre de son décolleté, juste entre ses deux seins, y mimant un mouvement de fine caresse tentatrice. “T’es encore plus bandante en vrai, avec cette robe, maman…” Ta caresse continue alors que tu embrasses sa joue, comme pour chercher discrètement ses lèvres mais sans vous mettre dans une position gênante tant qu’il y avait son équipe plus loin derrière elle. “Et c’est une torture de devoir être encore un peu raisonnable…” Te la joues-tu sensuellement sadique en glissant ta main sous le décolleté de sa robe, juste le temps de venir encercler, empoigner amoureusement l’un de ses mamelons, d’en éveiller sa pointe pour aussitôt le libérer. “Car tu me mets encore plus en feu que d’habitude comme ça…”
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| | Mer 13 Avr - 10:19
If you had my love and I gave you all my trust would you comfort me? And if somehow you knew that your love would be untrue would you lie to me? And call me baby > matthew
« Je suis aussi magnifique que tu es sexy dans cet ensemble, mon trésor… » Colère présente plus tôt s’envole en fumée dès l’instant où tu retrouves l’essence même de ta vie et de ton existence toute entière. Il vient te serrer dans ses bras. Une étreinte que tu raffermis en reposant tes mains de par et d’autre de son dos. Attitude normale pour une mère avec son fils. Image attendrissante offerte à l’équipe de régie avant qu’elle ne vous accorde quelques minutes. « Tu as intérêt… parce que j’ai été… très… très… très… en colère… bébé… » Souffles-tu de ta voix aussi envoûtante qu’enjôleuse qu’elle ne peut se montrer extrêmement suave. Souffle qui se ponctue sous l’acte osé de ton fils face à cette caresse, face à ce mouvement se glissant à l’intérieur de ton décolleté, entre tes deux seins presque offerts à la vue de tous. « Matthew… » Simple souffle chaud d’un prénom qui met tes sens en branle. Tu sens ta poitrine se gonfler à son contact, face à ce réveil d’excitation qu’il t’apporte en étant ce qu’il est: un véritable fils incestueux raide dingue de la femme l’ayant porté. « Tu veux qu’on discute de toi…? » Quitte à prendre des risques et vu le jeu dangereux qu’il entreprend, tu ne résistes pas à ce besoin de glisser une main vers l’intérieur de ses cuisses. Un intérieur que tu effleures du bout des doigts. Un intérieur que tu frôles en laissant la surface de tes phalanges se frotter contre cette bosse se réveillant. « Ca ne va pas durer… très longtemps… » Terrain glissant où tu profites de l’opportunité créée par l’amour bandant de ta vie pour capturer chaudement ses lèvres où tu en savoures rapidement le contact autant de sa bouche que sa langue avide. Clairement… il dépasse les bornes. C’est une véritable torture que de te tenir tranquille avec lui… Une véritable torture de ne pas franchir cette étape supérieure là où il ose empoigner l’un de tes seins sous une caresse des plus tentatrices. « Tu me donnes juste envie de me baisser… pour me venger… comme tu le mérites… » Regard bouillant que tu lui offres sous une poigne sulfureuse et érotique qui prend en otage sa virilité que tu serres amoureusement. « Hum… Quelle vilaine mère je fais… pour te mettre dans un tel état… » Jetant un coup d’oeil par-dessus ton épaule, tu profites d’un instant de discrétion pour perdurer la caresse sur cette érection qui s’éveille déjà. Sourire rempli d’érotisme et de fierté, tu mordilles et tires sensuellement, sous une tension des plus sexuelles, sa lèvre inférieure… « Il faut que ta bandante maman d’amour s’en aille… » lui susurres-tu contre ses lèvres avec envie, relâchant l’étreinte de ta main sur son sexe bouillant.
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| | Ven 22 Avr - 4:44
If you had my love and I gave you all my trust would you comfort me? And if somehow you knew that your love would be untrue would you lie to me? And call me baby > maya
Bosse qui se forme inévitable dans un éveil instantané au premier effleurement de la femme de ta vie : ton incestueuse mère d’amour! Tu le méritais! Tu méritais son sadisme et sa propre provocation de par ton attitude presque insolente face à sa tenue, face à son corps vibrant et cet instant précis qui ne vous laissait clairement pas le temps d’explorer une montagne beaucoup plus forte et intense de plaisir vous appartenant rien qu’à vous! Tu ne te caches pas de ton érection, tout comme tu n’essaies pas de lutter contre. Tu y vas plus loin… Plus loin dans la fièvre de ce baiser interdit, ou encore de cette main se glissant sur son sein directement. Mais là où tu vas encore plus loin, c’est en cherchant à te venger de ce sexe qu’elle t’as si lourdement tendu, tout en abandonnant son sein afin de glisser sa main punitive juste entre ses cuisses. “Tu n’es pas une vilaine mère… pas du tout…” Ta main se referme sur la zone de son triangle d’or auquel tu offres une pression lourdement bien sentie. “Tu as juste un salopard de fils qui aime trop abuser de toi…” Murmures-tu, laissant volontairement tes lèvres effleurer les siennes sans réellement l’embrasser, comme pour l’enflammer encore plus. Ton autre main se plaque subitement sur l’une de ses fesses que tu empoignes et prends en otage entre tes doigts sous les dernières paroles de ta mère. “Il est hors de question que je parte maintenant que je suis là… même si je dois t’accompagner sur scène pour que tu puisses récupérer ton prix…” Poigne malaxant au possible cette fesse appartenant à ce cul divin tandis que les doigts torturant finissent leur acte condamnable dans une dernière pression solidement sentie sur le triangle d’or de l’unique femme de ta vie. “Après tout, tu as accepté pour que je sois là… que je puisse te voir… fantasmer sur cette tenue… et bander à mort pour mon incestueuse mère d’amour, non…?”
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