La chaleur s’empare violemment des joues de cette jeune femme. Une jeune femme qui se retrouve dans une situation hautement complexe et délicate… Une situation qui semble… autant lui plaire que l’intriguer. Elle avait toujours été relativement proche de son grand-frère. Il avait toujours été là pour elle… Il avait toujours suscité une certaine forme de protection auprès d’elle… Une proximité plus que certaine s’était instaurée de façon assez naturelle entre les deux. Et, au fur et à mesure que les années se sont écoulées et que leurs corps ont commencé à changer, Dana devait bien reconnaître avoir ressenti des choses peu catholiques à l’égard de son frère. Elle n’avait jamais souhaité se le reconnaître. Justement, parce que ce n’était pas possible. Cela sortait hors du cadre familial et de toute logique que ce bas monde avait voulu instaurer. Pourtant, aujourd’hui, elle avait dérapé. Elle avait dérapé la première et son frère n’avait pas eu assez de force nécessaire pour la repousser. Les derniers échanges, qu’elle eut avec lui, ont été fulgurants. Il n’y avait, dès lors, plus aucun filtre dans le cerveau de Dana. C’était comme si toute barrière s’était levée et qu’il ne restait que l’homme et la femme, mettant aux oubliettes la notion même de famille. Alors, l’avocate quitte le bain après avoir échangé le dernier sms avec son frère. Elle repose son téléphone portable non loin du lavabo et prit quelques instants pour se regarder devant cette grande vitrine ornant l’ensemble de la salle de bain. Un fin mordillement de lèvre inférieure s’empare de sa bouche. Ses yeux se baissent sur chaque partie de son corps qui pourrait aisément plaire à son frère et elle finit par se retourner. Un retournement pour remettre de la mousse dans son bain, le rendre encore plus chaud et pénètre en son intérieur. Serait-elle prête à prendre une pose lancinante et captivante pour féliciter l’arrivée de son frère…? Oh que oui! Elle n’en avait que l’envie de le faire! Si bien qu’elle se positionne de façon à être autant à l’aise dans la baignoire, mais aussi en laissant juste quelques mousses cacher le bout de ses obus, son triangle d’or, finissant par “s’allonger” de façon autant sensuelle que relativement coquine et langoureuse...

L'interdit... L'interdit de penser à cette femme partageant le même sang que lui. L'interdit d'avoir des pensées impures et totalement folle concernant cette cadette avec laquelle il a pu grandir. L'interdit d'un fantasme aussi reprochable et condamnable que intense et sulfureux en tout point. Le fait de ne pas pouvoir le rendre vivant ne le rendait que davantage excitant et irrésistible de toutes les manières possibles. Sans doute est-ce pour cela que Ace n'a pas spécialement résister au jeu... Tant par sa nature joueuse à proprement parler, que par cette inertie lancée par sa frangine qu'il a saisi au bond, sans être capable de l'arrêter... Comme si l'invitation à ce jeu était le déguisement d'une réalité ne demandant qu'à se confier, se partager, s'avouer et se réaliser. Car, tout d'un coup, tout cela devenait beaucoup plus réel et concret ! Notre Gallagher ne pensait même pas aux conséquences. Ce feu qu'il contenait avait été embrasé à la perfection par sa sublime sista' qui, aussi honteusement que lui, avait plongé entièrement et totalement dans ce jeu plus que dangereux. Guidé par les pulsions, les vibrations, les tremblements et la déformation qui marquait solidement son jean au niveau de l'entrejambe, Ace n'avait clairement pas envie de faire demi-tour... Et il ne le ferait pas ! Arrivant à hauteur de la maison de sa somptueuse cadette, il gara son véhicule pour le quitter tout aussi rapidement. Suivant les instructions de l'hôtesse de maison, il attrapa le jeu de clé judicieusement planqué afin de pénétrer dans l'élégante et somptueuse villa. Une fois à l'intérieur, il prit bien soin de verrouiller la porte d'entrée derrière lui. D'un pas décidé, nullement hésitant et en pleine connaissance des lieux, il passa par le salon où il laissa son t-shirt abandonné son torse et atterrir sur le dossier d'un divan. Ce n'est donc vétu que de son jean qu'il se dirigea jusqu'à la salle de bain... Où l'ouverture de la porte ne pu que lui offrir la vision la plus idyllique et la plus divine qu'il ait pu imaginer durant toute sa vie ! « WOAW ! C'est encore mieux en live que sur photo, dis donc... » Malgré la situation, malgré l'ambiance et l'atmosphère chaudement interdite, il n'allait pas se départir de sa répartie et de sa taquinerie joueuse. Découvrant peu à peu la pose sensuelle et coquine que sa soeur arborait dans cette baignoire beaucoup trop grande pour elle seule, il ne retint nullement de se mordiller la lèvre inférieure, en ressentant son sexe frissonner et vibrer que de plus belle dans son pantalon, tout en la découvrant de plus en plus... Ses jambes luisantes... Ses cuisses charnues... Sa peau bronzée... Ses courbes à peine recouverte de mousse... Et ce visage diablement tentateur et envoutant... « Ouais, non... Y a pas à dire... T'es juste trop canon... » Fit-il, s'arrêtant juste devant la baignoire, son bassin et la naissance de son jean ne se trouvant non loin du visage de sa frangine, qui ne pouvait manquer la déformation présente dans ledit jean, alors qu'il la dévorait et la bouffait littéralement du regard. « Ma frangine m'excite à mort, là... »

Son coeur bat la chamade. Il bat à un rythme que son hôte n’aurait jamais cru connaître un jour. Elle ne sait pas à quoi s’attendre. Le stress commence à lui monter peu à peu. Jamais auparavant ne s’était-elle montrée aussi séductrice, aussi séduisante et aussi coquine surtout. Il s’agit d’une nouvelle facette de sa personnalité qui commençait à s’éveiller. Ce n’était pas déplaisant, que du contraire. C’était surtout assez déconcertant de constater que cette femme fatale s’exprime de la sorte face à un homme qui s’avère être son frère. Son coeur augmente d’un coup lorsqu’elle entend la porte d’entrée se fermer. Signe que son frère était arrivé et qu’il n’allait pas tarder à pénétrer dans la salle de bain. Dana reprend sa pose sensuelle et langoureuse, offrant déjà un sourire plus qu’évocateur à l’égard de cette porte vide pour le moment. Quelques instants plus tard suffisent à donner le temps nécessaire à Ace de pénétrer dans la salle de bain… Torse nu qui plus est! Dana se mord la lèvre inférieure avec une envie non dissimulée. Elle continue de jouer la femme langoureuse, la femme séductrice à plein régime… même quand il finit par se rapprocher de la baignoire, elle ne perd pas sa concentration! Son regard détaille avec plaisir le visage de son frère, son torse surtout où chaque détail est analysé et regardé avec envie. Ses yeux se glissent, peu à peu, vers le bas de son corps où elle constate déjà l’éveil de la bête monstrueuse! Cela l’émoustille. Cela lui fait plaisir et elle n’allait pas manquer de le faire remarquer à son fraternel d’amour! « C’est ce que je constate, oui… », lui répondit-elle simplement dans un sourire malicieux alors que son buste se redresse, laissant apparaître largement la naissance de ses gros obus, son regard se plantant dans les iris de son photographe. « Je dois dire que… tu n’es vraiment pas mal non plus.... » Sans aucune hésitation, les mains de Dana se glissent vers la ceinture du pantalon pour la défaire et la balancer ensuite sur le sol de la salle de bain. Ensuite, ce sont aux boutons que ses doigts s’attaquent… « Je n’ai vraiment pas envie d’être coupable de ton mal-être, opprimé dans ce tissu inutile… », souffle-t-elle chaudement, langoureusement dans le creux de son oreille, surtout non loin de la lisière de ses lèvres. Le pantalon d’Ace est déboutonné. Les mains de Dana s’affairent à l’abaisser pour qu’il ne demeure qu’avec son boxer… où le fait d’avoir baissé les yeux lui montre aisément l’ampleur des dégâts. « Hum… Je t’excite à ce point-là, grand-frère…?  », lui susurre-t-elle encore contre ses lèvres, laissant alors sa bouche lui apporter quelques baisers chauds et enivrants dans le creux de son cou...